- soit on trouve très rapidement un avion pour Bishkek
- soit on trouve une porte de sortie par la route. On a alors deux possibilités: le Kazakhstan ou le Tadjikistan
Le lendemain on court à l'ambassade Tadjik et un nouvel épisode administratif commence :
- On s'inscrit sur une liste pour rentrer dans l'ambassade
- On se rend compte que tout le monde touche à la liste et qu'à chaque fois que quelqu'un rentre ce n'est pas obligatoirement le suivant de la liste mais plutot celui qui crie le plus fort
- Quelqu'un me prévient qu'on peut avoir un formulaire dans une maison à 30 mètres dans la ruelle pour que notre dossier soit déjà prêt dès qu'on rentre dans l'ambassade
- On trouve en effet un formulaire mais en Russe. Bien sûr personne ne parle anglais pour nous le traduire et on refait la queue pour essayer de l'avoir en anglais
- On arrive à expliquer au gardien qu'il nous faut un formulaire en anglais et on rentre donc faire une deuxième queue devant le bureau d'un secrétaire
- Alors que ça allait être notre tour de passer, un policier qui trouve que c'est vraiment trop le souk décide de faire sortir tout le monde. Retour à la case départ devant les grilles de l'ambassade comme 2 heures auparavant
- Je retourne voir là où j'ai eu le formulaire et la dame téléphone pour moi à une agence de voyage. Trop de délai d'attente. Mauvaise piste.
- Retour devant l'ambassade et là miracle ! Un mec en costume de l'ambassade qui parle anglais comprend notre situation. On a notre formulaire en anglais qu'on pourra remplir dans la matinée puis rendre pour avoir le visa le jour même. On a eu chaud !
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